Preparing a talk about Facebook, pondering about the ideological framework from an historical perspective, I designed the above board.  Can you name the background of our quest for personal recognition? Several ideas emerged in my mind: networkism, tribalism, ... Yet, none is satisfactory.
In my opinion, it must be supported by an improved social technology, yet keeping with our craving for power and privilege. Semantically, what would replace Christ, King or Capital? The answer looks obvious at the surface : I, so is Individualism to be raised up to the level of an ideology? Another avenue is to look at the commons movement with the sharing and caring economy currently being praised. What about "Commonism" ...  You name it !

Une infographie récente : "What's your Startup Style" (voir ici) donne une image très caricaturale, quasiment "génétique" du profil de l'entrepreneur qui démarre son affaire ou qui devient un parmi les milliers de personnes à lancer une startup.
Au-delà des résultats 'simplistes' et 'évidents' relatif au point commun à tous ces profils : "86% créent leur business par motivation personnelle", la classification proposée est tout sauf un reflet exact de la population entrepreneuriale.

L'objectif:
Quel que soit votre projet, l'objectif est toujours de dépenser le moins d'énergie possible tout en accompagnant vos équipes dans la livraison d'un produit de qualité, relativement performant, dans les délais (rapides) et avec des coûts maîtrisés.

Le défi:
Atteindre les objectifs du triangle des projets en maximisant les ressources qui sont limitées et qui surtout ont bien souvent des intérêts différents. Si de plus, le projet concerne un produit d'innovation, la gestion concernera principalement l'incertitude et la complexité. Les méthodes et méthodologies du marché permettent-elles de répondre de manière satisfaisante à ces deux dimensions ?

PMI - Transformation vers l'efficience:
L'approche "PMI - No Recipes, Intelligence"TM, apporte:

• Une amélioration de la qualité/performances du produit, une réduction du time-to-market et une augmentation de l’efficience des équipes de projet;
• Une vraie dimension managériale au gestionnaire de projet qui lui permet de gérer la complexité de ses projets et de gérer plus de projets à la fois;
• Une transformation structurelle de l’entreprise (ou du Bureau des projets : PMO).

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Efficience et avantage compétitif
Au cours des 30 dernières années, poussées par les théories modernes de management et le miracle des nouvelles technologies, les entreprises se sont lancées dans des programmes d’investissement presqu’exclusivement orientés ver l’optimisation opérationnelle. Pourtant, Michael Porter déclarait déjà en 1996 que « operational efficiency is not a competitive advantage ». A l’heure ou l’accès à la connaissance et le développement des ressources à hautes compétences constituent les ingrédients de base de l’amélioration organisationnelle, que faut-il donc optimiser ?

68% des entreprises déclarent qu’elles ont trop de projets pour les ressources dont elles disposent !

L’efficacité et l’efficience en gestion de projet devient un véritable enjeu.
Au sein d’une entreprise, les directions mettent en place des structures qui ont à gérer un ensemble de projets liés soit au développement de nouveaux produits (innovation) soit à la maintenance de l’existant (améliorations opérationnelles). La gestion des activités liées à ces projets est de la responsabilité d’une équipe managériale généralement pilotée par un chef de produit ou un chef de projet, le tout parfois organisée en un portefeuille. Une étude américaine de 2012 (Planview) indique combien les entreprises sont aujourd’hui confrontées à des difficultés de gestion de ces projets aussi bien d’innovation que de maintenance (préventive, curative ou améliorative). Ainsi 68% se plaignent qu’elles ont trop de projets, 53% indiquent que cela les empêche d’innover plus rapidement (time-to-market) et 74% pensent que c’est parce que leur organisation n’est pas assez efficace dans la gestion prévisionnelle des ressources.

Let me start with another question: How do you spot someone that is not motivated and/or not engaged? Inappropriate behaviours, lack of efficiency, irrational decisions, counter-cultural thoughts, etc.?

In my opinion, for a business organization, the most critical symptom is “idleness” because it is related to intrinsic motivation for carrying out activities. Intrinsic motivation is the key personal attribute to be looked after in order for your employees to be fully committed to the delivery of the required outcomes. So first, look for true “idleness” symptoms because “Idleness is the goal only of those who have been compulsively or anxiously busy” (Skiner). When you are working with your team, make sure that the context (schedules, assignments, team structure, etc.) will never lead one of the members to act compulsively or anxiously.